C'est avec indignation que j'ai apris que le gouverneur de la région du Sahel, en ompliciter avec les dinausores du CDP, les esclaves ou disons les griots du citoyen Compaoré on oser nous défier
en réfusant de réceptionner l'ambulance que nous offrais (le Burkina) notre compatriote Arba.
Tout ceci est née de la honte que a Arba a mis au CDP lors des municipale, en leur rétirant par la force des urnes le siege de maire dans la commue de Dori.
Les faits:
Il n’est pas facile d’aller à Dori par ces temps-ci. Les travaux de bitumage de la route Kaya-Dori ont rendu pénible le voyage. Les déviations mal faites n’offrent pas de sécurité. C’est ce trajet pénible que son Excellence Arba Diallo, Secrétaire exécutif de la Convention sur la lutte contre la Désertification a arpenté pour aller voir les siens. Il a profité de son séjour le dimanche 4 septembre dernier pour remettre une ambulance (deuxième du genre) d’une valeur de 12 millions de FCFA au Centre hospitalier régional de Dori . Cette dernière est accompagnée d’un lot de quarante cartons d’antibiotiques estimé à 10 millions de FCFA pour les quatre provinces de la région du Sahel. Ce don a pu être possible grâce à la Croix Rouge et à la Mairie de la Bavière en Allemagne. Pour le donateur Diallo « Son action vise à apporter d’autres efforts pour renforcer ceux déjà déployés par le gouvernement ». Malgré ce discours très conciliant, la cérémonie qui devait se tenir au gouvernorat du Sahel a finalement eu lieu à la Direction régionale de la santé. Les autorités gouvernorales n’ayant pas voulu réceptionner le don. Selon des informations, l’ambulance de son Excellence venait à point nommé parce que non seulement l’ambulance du CHR avait régulièrement des pannes mais aussi, les populations avaient eu des promesses de la part d’un autre natif lesquelles n’ont jusque-là jamais été tenues. Par conséquent, les adversaires de Arba Diallo n’ont pas voulu donner un écho plus grand à son geste. Heureusement la presse était là. Néanmoins, sauf le gouverneur, les autres autorités ont fini par assister à la cérémonie. Le dimanche matin à la medersa de Dori , le député Nassourou Dicko au cours d’une cérémonie a tenu à récompenser les huit équipes de football qui ont participé à son tournoi. Dans la même journée, en présence de son Excellence Diallo, les responsables du parti pour la démocratie et le socialisme (PDS) de la province du Séno ont animé un point de presse pour expliquer davantage aux journalistes leurs projets et leurs réalisations. Des interventions, il est ressorti que le PDS a le vent en poupe actuellement au Séno.
Nous avons ici des vagabons reunis, pour dire qu'ils forment un gouvernement.
Des voleurs, des assassins, des corompus, des irresponssables, des analphabete.
Ces gens peuvent t'il changer quelques chose dans un Etat?
Je vous répondrai par l'affirmatif car ils ont le pouvoir de changer la paix en haine entre les populations et en se permettant de manquer du respect aux hommes honnetes comme Arba.
vendredi 8 décembre 2006
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L’étonnant repentir d’une jeune libanaise expatriée.
SARA dont j’écris ici le nom en capitales, que sa place auprès de DIEU soit immensément plus grande, a suivi dans sa courte vie un itinéraire peu ordinaire, sanctionné par une fin des plus heureuses.
SARA a émigré avec sa famille au Venezuela pour trouver une situation meilleure que dans leur Liban meurtri. Là, le couple – le père est musulman, la mère chrétienne – se sépare. Chacun va de son côté et convole en une nouvelle noce. SARA est livrée à elle-même. Elle est vite recueillie en proie facile par les impitoyables et funestes marchands de la chair humaine, prédateurs insatiables, ennemis jurés de l’honneur et de la dignité des autres, des êtres vulnérables en particulier.
Grâce à sa beauté légendaire, SARA finit comme employée dans un bar, après un passage par le mirage cauchemardesque de ce qu’on appelle dans l’univers des perdants et de l’horreur « miss monde ». Cette « consécration », faut-il le souligner, ne conduit que dans un tel lieu abject, ou dans le lit d’un horrible octogénaire, couvert de sa fortune, qui n’avait pas auparavant daigné légitimer l’invasion d’un domaine inviolable et ayant, le plus souvent, fait ses preuves dans le champs miné des MST.
Mais, le Destin agit sans nous consulter, sans nous prévenir, sans que nous le voyions. Il est constamment à l’oeuvre et réserve des surprises, souvent agréables comme pour l’heureuse SARA. Gloire à elle. SARA regardait un de ces jours l’une des chaînes satellitaires libanaises les plus immondes, la LBC. Au programme, il y avait autre chose que le striptease honteux et les insanités interminables que les chaînes arabes déversent sur nos peuples pour les corrompre et les démobiliser, face aux guerres multiformes qui leurs sont déclarées de toutes parts. Il y avait une émission sur la vertu et la pudicité. Une émission sur la vertu et la pudicité dans nos TV à l’ère de la mondialisation, du droit d’ingérence « humanitaire », de la démocratie à la Bush, des milliers de jeunes irakiennes enceintes des soldats américains !!! C’est la perle dans les égouts. Cette perle, l’émission, a eu son effet bénéfique. Elle a permis à SARA de découvrir son identité, son humanité, ses valeurs intrinsèques, Sa mission dans la vie ici-bas et l’oeuvre, combien exaltante à accomplir pour le Grand Futur. SARA rompt irrémédiablement avec le passé immédiat et ténébreux. Plus de bar, plus de petit ami… De serveuse de corps et d’alcool, elle devient cavalière dans la grande chevauchée vers la plénitude de l’honneur. Mais, elle découvre qu’elle ne connaissait de l’Islam que le nom et qu’elle ne récitait même pas les quelques lignes de la Fatiha, obligatoire pour les cinq prières quotidiennes du musulman !!! Malheur aux régimes arabes, (n’oublions pas à l’occasion Royal Air Maroc, nouveau venu sur la scène lugubre1), qui répandent l’ignorance et déclarent la guerre au Coran et à la prière !!!
SARA s’adresse par la toile à l’auteur de l’émission providentielle et lui demande si Dieu peut accepter son repentir. L’animateur du programme porte à sa connaissance que Dieu, ce que tout musulman ne doit ignorer, fait table rase de tous les péchés au repentir et la rassure quant à l’immensité de la clémence divine. Il l’informe encore que Dieu aime bien les repentis. Et il lui envoie par courrier express le Coran, livre et CD Rom. Peu après la réception de cette trouvaille si précieuse, SARA, informe son bienfaiteur qu’elle a pu mémoriser deux chapitres du saint Coran !
Mais les événements se précipitent. SARA donne d’elle une nouvelle moins heureuse, qu’elle avait pourtant elle-même accueillie avec plaisir et satisfaction. Des analyses viennent tout juste de révéler chez elle un cancer du cerveau. En prévision d’une mort rapide et imminente, SARA fait don du Coran, livre et CD, à une Mosquée de la place afin que d’autres y puisent la lumière salvatrice.
SARA subit l’opération chirurgicale de la dernière chance. Son amie porte la triste nouvelle. SARA n’a pas survécu à la pratique des chirurgiens. Elle y succombe. Elle n’en ressort pas, du moins vers nous, mais en direction d’un univers Très vaste, Très heureux, Très convivial. Elle est comblée. L’un des moindres présents qui lui sont offerts par Le Créateur est cet hommage posthume mérité et vibrant que nous lui rendons, sans que nous l’ayons connue ni même vue. Oui, quand Dieu aime un être, Il ordonne – comme dit le Hadith – à toutes ses créatures de l’aimer. SARA n’aura vécue sa nouvelle vie que deux semaines !!! C’est la bénédiction, Al Baraka, qui a fait d’une quinzaine de jours un âge incommensurable.
Des SARA en puissance, il en existe partout, dans toutes les confessions. Les forces du mal le savent. Elles se coalisent pour faire échec à leur apparition. Il faut aider SARA - et Sar - à reprendre le droit chemin. C’est un devoir et une responsabilité divines. Ne négligeons et surtout, ne sous estimons aucun effort d’éducation, d’information, de mise garde…
L’émission de la tristement célèbre chaîne libanaise, LBC, qui a sauvé la SARA libano- vénézuélienne pouvait ne pas être de très haute qualité ; elle a pourtant donné lieu à un miracle. C’est-à-dire qu’il ne faut pas lier l’effort utile à l’accumulation d’un savoir immense ou à des dons spécifiques. N’attendons pas d’être Faqih, exégète du Coran, expert du Hadith, prédicateur éloquent, émérite et charismatique pour tendre la main à un être humain au bord du précipice. Chacun d’entre nous possède un minimum « investissable » dans le Grand marché que Dieu nous ouvre en permanence. Dieu y accepte les valeurs boursières infinitésimales. Commençons par nous-mêmes. Tendons la main à nous-mêmes.
Nous en avons besoin.
1. La RAM vient d’interdire la prière sur ses lieux de travail.
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