dimanche 27 mai 2007

Blaise Compaoré Dictateur prémière classe

La force et la faiblesse des dictateurs est d’avoir fait un pacte avec le désespoir des peuple







Leur seconde faiblesse est qu'ils croyent pouvoir manipuler éternellement la justice, mais ils l'assome et son reveil a toujours été douloureux.

Nous allons aujourd'hui vous demander de lire avec patiance cette information capital qui commence par l'affaire Charle Taylor, le connaissez vous? ce pédé marrié au dictateurs honoris causa du Burkina?
Nous vous demandons de resister à la dictature et par la même occasion à ouvrir l'oeil et le bon, pourque justice soit faite et que la terre et la patrie retourne au peuple, non à une famille ou a un groupe d'amis qui assassine le droit.
Après avoir été pendant longtemps le grand absent du Tribunal spécial pour les crimes de guerre en Sierra Leone (TSSL), Charles Taylor en est désormais un client encombrant comme vous le savez tous.
Le pitoyable charle qui avait ouvert un Compte Banquaire à la BCEAO de Ouagadougou et cela avec des faux document d'identité au nom d'un certain Hien Jéan Paul est arriver à la fin de son reigne, il est tomber dans l'éau et veut couler le bateau , aujourd'hui il a eu l'honneur de se retrouver en prison car cela arrive rarement aux dictateurs de sa position.
Savez vous qu'en vue la clémence du trubunal, ce drôle pétit dictateur a promis de mettre un terme a la dictature dans certains pays et cela en faisant des declarations sur son passer sombre et ses rélations avec des gangs comme Blaise Compaoré, le 04 juin 2007 date de son procès.S'il arrivait à le faire vraiment nous en serront ravis car le Burkina serra Libre et la justice tomberait.
Chose drôle, les gas n'arrivent plus à dormir et l'on s'atèle pour que ce procès soit réporter en vue d'assassiner Taylore qui est leur ami d'hier, dans le seul but de rester en tête de liste des criminels Africains. Inutil de vous dire qui veut l'assassiner ou qui veut faire reporter le procès.
Nos marionettes de journalistes évitent le sujet pour tromper la vigilence de l'opinion public et le peuple a droit à l'information et il a le devoir de protester contre cette action soutenue par les conservateurs occidentaux qui font tout pour soutenir leurs mercenaires en Afrique en vue de nous maintenir dans la dépendance.

Décidément, il faut souvent lire la presse étrangère pour en savoir plus sur notre pays.C'est véritablement ce sentiment qui se confirmera à quiconque lira le bimensuel Afrique Education n° 223 du 1er au 15 mars 2007. Cela est si vrai que tous les stocks seraient épuisés et qu'on ferait appel aux photocopies pour satisfaire la demande. On y apprend, en dehors de tout ce qu'on savait déjà sur les crimes et les ingérences du régime, que dans son arrogance et son mépris, il a comme dépassé les bornes en commettant des erreurs de trop pour lesquelles il devrait payer sous peuTout s'éclaire. L'ancien Procureur du tribunal spécial sur la Sierra Leone David Crane, qu'on a traité de tous les noms d'oiseaux, présenté comme un excité, ne mentait pas. Il savait bien de quoi il parlait lorsqu'il déclarait à tout vent qu'un avion burkinabé avait emmené Charles Taylor alors en détention, de son asile doré de Calabar, à Ouagadougou ! Ces faits (dignes de polars truculents), David Crane avait déclaré qu'ils avaient pour objet non seulement de préparer un putsch contre Lansana Conté mais de déstabiliser le Libéria. Tous ces propos, on s'en souvient, ont été relayés par nombre de médias internationaux dont RFI.

Apres de l'assassinat du premier ministre Libanais, Rafiq Hariri, la France à su faire preuve de courage et d'impartialité, elle a fournis des efforts considerable en vue de rendre justice. Régarder dans l'affaire Zongo,"un journaliste a payé de sa vie d'avoir tout tenté pour que la démocratie dépasse le cadre du simple discours. Norbert Zongo, directeur du journal l'Indépendant, fut assassiné en décembre 1998. L'Indépendant était le seul journal d'investigation au Burkina, symbole même de la liberté de critique et de commentaire. Le seul à oser mettre en avant les failles du pouvoir, sans être lié à aucun parti. Cet assassinat illustre tous les dysfonctionnements de l'État auxquels Norbert Zongo s'attaquait depuis toujours : les privilèges familiaux au sein du pouvoir, le rôle de l'armée, la soumission de la justice, l'impunité dont jouissent les "grands" de ce pays. Chirac a toujours proner le pardon et a bloquer les initiatives visants a faire la lumière sur l'affaire et son ambassadeur présent à l'époque a eu le courage de donner une medaille au ministre de la sécurité par ce que ses éléments arrivait a disperser les gens qui réclamaient la vérité.
Vu la situation et le silence de la France l'on fini par conclure que la dictature a pour base Paris.


Qui est Taylor?
Charles Ghankay Taylor, appelé le plus souvent Charles Taylor, (28 janvier 1948 au Liberia) est un ancien président du Liberia. En fonction à la fin des années 1990, il est entre autres accusé d'avoir favorisé une guerre civile qui a duré plus de dix ans. Condamné par le Tribunal spécial pour la Sierra Leone, le Conseil de sécurité a demandé à tous les gouvernements de geler ses avoirs, ainsi que ceux de sa famille. Il vivait en exil au Nigeria depuis plusieurs années. En mars 2006, alors qu'il tentait de s'enfuir au Cameroun, il a été arrêté et extradé au Sierra Leone.
Biographie
Avant de présenter la biographie de Charles Ghankay Taylor, le lecteur devrait savoir ce qui suit. Effectivement créé en 1816, le Liberia est un pays constitué par des esclaves libérés et rapatriés du continent américain. Les descendants d'esclaves représentent seulement 5 % de la population totale, mais ont pratiquement toujours été au pouvoir depuis l'indépendance du pays en 1847. Taylor est né d'un père américain et d'une mère américano-libérienne qui font partie de l'élite du pays le 28 janvier 1948 . À 24 ans, Taylor quitte le Liberia pour travailler et étudier aux États-Unis et, en 1977, il est diplômé en économie du Bentley College dans le Massachusetts. C'est durant ses études que Taylor développe un intérêt pour la politique et décide de joindre l'Union of Liberian Associations (ULA) dont il devient président national. Ce groupe dénonce le régime du président libérien de l'époque, William Tolbert. Peu de temps après, ce dernier est victime d'un coup d'état de Samuel Doe et est exécuté. Doe devient ainsi président, nomme Taylor conseiller et lui confie les services généraux du gouvernement. Après avoir détourné 900 000 $ en trois ans, Taylor perd son poste et fuit aux États-Unis. Arrêté puis emprisonné, il réussit à s'enfuir et se réfugie en Afrique afin de préparer une rébellion contre Samuel Doe. Pour ce faire, il joint le National Patriotic Front of Liberia (NPFL) et en devient leader vers la fin des années 1980. En 1989, le NPFL lance une attaque, c'est le début de la guerre civile. Rapidement, Taylor contrôle une grande partie du pays, mais un éclatement au sein du NPLF ralentit sa conquête. De fait, Prince Johnson, un de ses principaux lieutenants, se dissocie de son leader et fonde avec près de 1 000 hommes l'INPLF (Independent National Patriotic Front of Liberia). Prince Johnson et ses troupes prennent le contrôle de la capitale, Monrovia, et assassine Samuel Doe. Les troupes de Taylor et Johnson s'affrontent et la guerre civile prend toute son ampleur pendant les sept années qui suivent. En juillet 1997, des élections sont tenues et Taylor est élu avec 75 % des voix. Le scrutin a été jugé juste par les observateurs internationaux, mais des doutes persistent quant à la validité de l'élection. Pendant son règne à la tête de l'État, Taylor continue de combattre tous ceux qui s'opposent à son pouvoir. La répression contre l'opposition fera 150000 morts jusqu'en 1995 . Par ailleurs il suspend les libertés individuelles dans son pays et centralisera le pouvoir entre ses mains en instaurant un véritable régime autoritaire . Petit à petit, la résistance au règne de Taylor prend forme. Les troupes de Taylor subissent dans un premier temps les offensives du groupe des Libériens unis pour la réconciliation et la démocratie (LURD), mouvement soutenu par les États-Unis et par le régime guinéen frontalier, puis par la suite, les offensives du Mouvement pour la démocratie au Liberia (MODEL), groupe constitué principalement de membres de la tribu de Samuel Doe, le prédécesseur de Taylor. Parallèlement, sur le plan international, Taylor est de plus en plus isolé. Il s'est vu imposer des sanctions par le Conseil de sécurité des Nations unies tel un embargo sur les exportations de diamants de la guerre et de bois et l'interdiction de voyager pour lui et son équipe présidentielle. Taylor fait face à d'énormes pressions de toute part pour quitter le pays. Des responsables de la Communauté économique des états de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) se sont même rendus au Liberia pour demander à Taylor de quitter afin de mettre fin au conflit. Poussé dans ses retranchements, Charles Taylor quitte le pouvoir en août 2003 pour un exil au Nigéria, offrant ainsi une lueur d'espoir au peuple libérien.
Crimes contre l'humanité
  • Charles Taylor est inculpé de crimes contre l'humanité, crimes de guerre et autres violations du droit international humanitaire par le Tribunal spécial pour la Sierra Leone (ou CSSL Cour Spéciale pour la Sierra Leone).
  • 29 mars 2006: Charles Taylor est arrêté au Nigéria et extradé vers le Sierra Leone pour y subir son procès par la Cour spéciale pour la Sierra Leone (CSSL). Pour des raisons de sécurité, la CSSL a demandé le 31 mars 2006 le dépaysement du procès à La Haye, capitale de la justice internationale. L'arrestation de Charles Taylor a été rendue possible grâce à l'élection d'Ellen Johnson Sirleaf à Monrovia et à l'espoir de stabilisation du pays. Les puissances occidentales et les dirigeants d'Afrique de l'Ouest ont finalement lâché celui qu'ils avaient exilé au Nigeria après lui avoir promis l'impunité en échange de son départ de la présidence et de sa non-intervention dans les affaires libériennes.
  • 7 avril 2006: Les membres du Conseil de sécurité de l'ONU se sont mis d'accord sur un transfert à La Haye, Pays-Bas, du procès de Charles Taylor qui comparaît devant le Tribunal spécial pour la Sierra Leone (TSSL).
Les appuis de Taylor
Presque vingt ans après le Biafra, on retrouve en 1989 le zélé foccartien Mauricheau-Beaupré au secours d'une autre terrible guerre civile : l'invasion du Liberia par les milices de Charles Taylor. L'objectif initial est le même qu'au Biafra : tailleur de croupière aux "Anglo-Saxons" - les Américains en l'occurence, "protecteurs" d'un pays fondé par leurs anciens esclaves, et les Africains anglophones du trop puissant Nigeria [...] Contre le Nigeria, le tandem Foccart-Houphouët et la galaxie françafricaine tiennent leur revanche de la faillite biafraise. Une revanche commerciale d'abord, par l'avantage donné aux réseaux libano-ivoiriens (très influent à Paris) sur leurs rivaux nigérians dans le contrôle de l'or, du bois, des pierres précieuses et des trafics locaux. Une revanche militaire aussi, par la mise en échec de la force d'intervention Ecomog, à dominante nigériane. Comme champ de tir, le Liberia remplace le Biafra. Le Burkina de Blaise compaoré se subsitue au Gabon d'Omar Bongo comme premier associé du tandem Foccart-Houphouët. La Libye se montre curieusement coopérative. Le réseau mitterandien pointe son nez. Tous ces jeux d'intérêts prolongent durant six années le massacre: au minimum 150 000 civils (1990-1996). Qui parmi les millions de télespectateurs français s'émouvant au spectacle des enfants libériens faméliques, s'alarmant de la prolifération des drogués de la kalachnikov, savait que les réseaux françafricains étaient derrière cet abominable conflit.
Heuresement pour certains dictateurs qu'ils ont fuient le monde des vivants.