C'est loin d'être un poisson d'Avril, en fin on est même pas en Avril
Bon c'est serieux, le Mouvement de contestation Burkinabé, moin connu des masses, gagne du champs et a publier une déclaration qui rechauffe.
Pour les fautes corrigez,
ok?
Pour tout contacte, écrivez à: agirpouretre@gmail.com
en plus voici un lien renvoyant un à interview de son président dans un journal Nigerien et une de leur declaration de soutient au Niger
Interview
Déclaration
Le site de Agir pour Etre
Rapport sur la Situation des droits Humains au Burkina de Agir
Le Forum du Mouvement
Déclaration
Vu les meurtres et crimes perpétués au Burkina, pour faciliter le règne de certains individus ;
Vu les crimes et abus à l’encontre d’Hommes de médias et à d’opposants politiques
Vu le soutient que le régime de Blaise Compaoré accorde à des force mafieuses et à des terroristes,
Vu la Convention de l’Organisation de la conférence Islamique sur la lutte contre le terrorisme international adoptée le 1er juillet 1999 à Ouagadougou dont, les Etats parties et signataires sont le Cameroun, la République centrafricaine, la République du Congo, la République démocratique du Congo, la République gabonaise, la République de Guinée équatoriale, la République démocratique de Sao Tome et Principe, la République du Tchad, l’Afrique du Sud, l’Algérie, l’Angola, le Bénin, le Burkina-Faso, le Burundi, le Cap-Vert, les Comores, Djibouti, l’Égypte, l’Érythrée, l’Éthiopie, le Gabon, le Ghana, la Guinée, la Guinée équatoriale, le Kenya, le Lesotho, la Libye, Madagascar, le Mali, le Malawi, Maurice, le Mozambique, la Mauritanie, le Niger, le Nigeria, l’Ouganda, le Rwanda, la République arabe sahraouie Démocratique, le Sénégal, les Seychelles, le Soudan, la Tanzanie, le Togo et la Tunisie.
Vu la définition qu’attribuent ces conventions au terrorisme, qu’elles disent être :
“Tout acte ou menace d’acte en violation des lois pénales de l’État partie susceptible de mettre en danger la vie, l’intégrité physique, les libertés d’une personne ou d’un groupe de personnes, qui occasionne ou peut occasionner des dommages aux biens privés ou publics, aux ressources naturelles, à l’environnement ou au patrimoine culturel, et commis dans l’intention :
- d’intimider, de provoquer une situation de terreur, forcer, exercer des pressions ou amener tout gouvernement, organisme, institution, population ou groupe de celle-ci, à engager toute initiative ou à s’en abstenir, à adopter, à renoncer à une position particulière ou à agir selon certains principes ; ou
- de perturber le fonctionnement normal des services publics, la prestation de services essentiels aux populations ou de créer une situation de crise au sein des populations ;
- de créer une insurrection générale dans un État partie.”
Vu la situation des étudiants et scolaires au Burkina Faso
Vu la cherté croissante de la vie
Vu la mise à l’écart des couches défavorisé de la société, à travers le scandaleux projet « Ouaga 2000 »
Vu la privation de la société civile de moyen légal de contestation
Vu les propos de Mr Maurice Portuch, ex ambassadeur de la France à Ouagadougou, qui déclara que la démocratie et un luxe de pays riche lequel le Burkina n’est pas mur
Vu la provocation du régime Blaise Compaoré, à travers l’organisation d’une commémoration du 20eme anniversaire de l’assassinat du Camarade Thomas Sankara
Vu les menaces de mort contre certains individus, notamment, Sam’s K le Dja et Maître Herman Yaméogo.
Considérant que :
C’est un impératif de survie pour notre pays, une nécessité pour le cadre démocratique et républicain si chèrement acquis de hautes luttes, un gage certain de réussite de notre ambition pour le développement et la lutte contre la pauvreté. C’est pourquoi, nous estimons qu’aucun sacrifice n’est de trop pour la sauvegarde des acquis démocratiques, la paix sociale, la sécurité des personnes et des biens sur l’ensemble du territoire national, la cohésion nationale, la défense de la République, de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire
Nous Jeunesse consciente, appelons la société civile, les étudiants et toutes les forces vives du pays, à une contestation de ces actes et actions, dégradants l’image de notre patrie.
Aujourd’hui, notre pays est à la croisée des chemins, c’est le moment où tous les fils du pays épris de patriotisme et de justice doivent se mobiliser comme un seul homme pour défendre la forme républicaine de l’Etat, la démocratie, l’Etat de droit, l’unité nationale
lundi 19 novembre 2007
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