jeudi 14 juin 2007

Dèrnière reponse à l'usurpateur.


Comme vous le savez, depuis un certains temps, une marrionette de ce regime qui se plaint de mon niveau d'éducation et qui ignor que je peus l'enseigner, mais je me contenterais d'écrire avec le maximum de fautes possible pour l'instant car je vous informe gratuitement.lol.

Il dit être un resistant, un vrai, car il me met du côté des faux, mais c'est juste une façon pour faire perdre au blog sa crédibilité et pour tromper votre vigilence.

Si vous m'autoriser à lui repondre je le ferrais à chaque fois et au cas échéant je suis désolé.

Il veut semer le doute et il ne sais comment faire, mais il n'a qu'à m'écrire à democratieetjustice@gmail pour ces genres de choses.

Je lui adresse la présente:

Très cher nous somme sous une démocratie bien vrai, mai une democratie de surface.

Par démocratie de surface, je veux dire une société qui se comporte comme si le meilleur résultat devait provenir de la simple combinaison d’un gouvernement préfabriqué et d’un « marché libertin » réglé par les « lois » de l’offre et de la demande, en divorce avec les valeurs éthiques. Inexorablement, la richesse et le pouvoir se concentrent au point qu’aussi bien la compétitivité du marché que les processus politiques responsables sont affaiblis et que les voix des citoyens sont toujours plus marginalisées. (Aujourd’hui les chefs coutumiers sont 56 fois plus nombreux que les représentants élus.) Cette démocratie superficielle mène à des reconnaissances instantanées, à la recherche de résultats à court terme, à la réduction des investissements publics, ce qui compromet la sécurité publique et laisse se dégrader les infrastructures sociales et physiques.
Ce qui est peut-être le plus grave est qu’une démocratie étroitement égoïste et faite de promesses matérielles pervertit la perception que nous avons de nous-même, niant notre besoin humain profond de relations personnelles, d’une existence personnelle, et le fait de donner du sens à sa vie. Une démocratie fragile tue notre âme, cependent elle ne merite pas une tolerance quelconque.
Lorsque je définis cette démocratie mince, j’utilise l’expression « se comporte comme si » parce que peu de burkinabés accepteraient, si on leur suggérait, un système dont il est évident qu’il ne peut fonctionner. Cependant nous agissons comme si nous endossions ce système parce que nous ne voyons pas d’alternatives crédibles. Nous suivons parce que nous nous sentons sans pouvoir.
En fait c’est justement notre sentiment d’être sans pouvoir qui constitue la véritable crise. Les solutions à nos problèmes sont dans la plupart des cas largement connues, mais nous nous sentons impuissants à agir parce que nous échouons à voir le modèle causal à l’origine de nos difficultés - une démocratie trop faible - ou l’outil puissant à notre disposition pour le réenraciner : la démocratie comme pratique vivante.
« Une démocratie vivante » est une société qui croit dans ses citoyens et dans leurs valeurs, et qui assume ainsi que les meilleurs résultats viendront en les engageant dans toutes les dimensions des affaires publiques. Ce sont les citoyens qui protègent le processus électoral de l’influence de l’argent et qui utilisent le marché comme un outil subordonné à leurs valeurs éthiques.
Vous vous posez peut-être la question : où se trouve donc cette démocratie ? Invisible à la plupart des burkinabés, elle émerge, non seulement en politique, mais partout.

Très cher, vous allez finir par me dire que vous ne savez rien, vous ne savez même pas que vous ne savez rien.

Pour le respect des lecteurs, je vous demande d'éviter des debats non feconds et de faire appel à votre bon sens.

Si n'importe quel individus se disant en démocratie, assassine et vol le peuple, si le pardon est accorder à ceux qui ne pensent qu'à nous détruir, ne serrait il pas une injustice de notre part envers les victimes?Vous allez par finis nous faire croire que François Ouédraogo, n'entretenait pas des milices qu'il payait à 30000 FCFA par jour chacun, vous êtes capable de me dire q'au moment ou des burkinabés n'ont rien à manger des animaux consomme 9millions en eau, pour le plaisir d'un individus.
Vous voulez le pardon, ou la proffanation, mon devoir est de dire et à haute voix, non!

Très cher, il y a quelque chose qui vous echappe: c'est la nature du detournement des fonds par Tertus et la méthodologie, c'est vous qui avez apporter des details alors que j'ai même pas encore réagis.

Ne masquons pas la vérité, Tertus et moi n'avons aucun dissentiment, et rien en commun, exeption faite du pays.

J'ai jamais songer à voir des partis Sankaristes à la tête de notre nation, j'aimerais que la démocratie de façade meurt et que le pouvoir retourne au peuple, je ne suis l'appanage d'aucune organisation je suis un être qui sous les conseils de sa conscience à décider d'aider le peulpe en l'informant car les medias sont morts.

Un peuple sous informer perd sa liberté d'action et mes informations visent à solliciter une action de ce peuple que j'aime et pour le pardon ne compter pas sur moi car vous ne m'avez pas pardonner.

Le peuple est seul juge et je me resumerais à son choix.

Pour mon adresse IP j'en ai des centaine.lol. vous m'avez aussi demander si je connaissais l'occident je ne vais pas vous repondre car vous êtes un espion qui est à la quête de mon identitée.