mercredi 23 mai 2007

Revue des coups bas du Regime Compaoré

Nous refusons d'admettre que des mots comme Démocratie, Droits de l'Homme, Liberté demeurent l'apanage des contrées privilégiées!!!!
Les lien ci dessous renvoi au site et aux Films dedier à Thomas Sankara qui est un Héros National.
Site Sankara
FILMS THOMAS SANKARA
Nous croyons que la justice va finir par tomber car le peuple se reveil

Oui, je sais: depuis quelques mois, je ne suis plus très drôle. Pendant longtemps j'ai résisté à évoquer la politique sur mon blog, tant le sujet est clivant, et risque de me couper d'une bonne moitié des internautes. Mais soyons franc, face à tant de mauvaise foi / connerie (rayez la mention inutile selon les cas) de la part de beaucoup de mes adversaires d'idée, je ne suis pas parvenu à rester muet.

Nous croyons en la force de la démocratie dans notre Burkina, si la démocratie consiste à tuer, à violer et à porter ateinte aux droits les plus absolus de l’Homme.

Notre cher Chérie dictature de merde ne cesse de montrer ses limites et sa méchanceté.

J’aimerais vous dire pourquoi mais j’ai peur de mourir car, L’artiste musicien et animateur radio, Sams’K Le Jah, a reçu un troisième message de menace de mort, Le dit message se résume en ces termes : "La mort t’attend. Je vais te butter, je suis sur ton chemin, j’ai mis des hommes à ta poursuite, la mort..."

C’est horrible non ? Pour certain ça va paraître drôle mais souvenez vous de Norbert Zongo et des menaces qu’il a reçues.

Vu ce risque je ne vais pas me permettre de vous faire savoir que le chef de l’Etat, en relation avec le réseaux Alkaida, sont à l’origine de la création de temps de banques privées au Burkina et celui qui est charger de la liaison entre Alkaida et le régime, est un homme très connus dans le domaine du mercenariat, à cet effet nous risquons une Irakisation.

Loin d’être une diffamation je vous invite dans les prochaines éditions à lire le maximum de détail car j’ai beaucoup de preuves à vous offrir de preuves.

Mais au finish je ne vous ais rien dit.

Pour beaucoup, l'Afrique est une terre de loisirs ou d'exotisme que la légende consacre comme le continent de toutes les convivialités. C'est aussi un continent pauvre, ravagé par les guerres : la générosité occidentale y trouve un terrain d'entraînement sans limites. Notre patrie est parti culière ment touché par ces représentations qui, vraies ou fausses, tendent à nous donner de du pays une image de misère tranquille. Misère tout d'abord, car si le Burkina Faso est un pays où le visiteur se sent bien (l'accueil y est bon et la sécurité assurée), c'est en dépit de la pauvreté qui le ravage. Classé parmi les trois pays les plus pauvres du monde, les statistiques l'accablent : la mortalité infantile est de 9,4 %, l'espérance de vie des hommes de 46 ans, quand celle des femmes culmine à 47 ans et près de 75 % de la population active et urbaine travaille dans le "secteur informel", c'est-à-dire la débrouille journalière.
Mais tranquille car le Burkina Faso jouit d'une certaine réputation démocratique ; au fait selon l’œil électrique et le régime Compaoré.

Au Burkina Faso, le terme "démocratie" est revendiqué par les deux forces en présence : le Collectif des Organisations Démocratiques de Masse et des Partis Politiques, et le gouvernement de magouille en place ; l'une souhaitant voir l'avènement d'un système démocratique que l'autre se targue de faire régner, y compris par la force. C'est ainsi que l'on assiste, au nom de la démocratie, au déploiement, au grand jour, de milices privées agissant sous les ordres de responsables municipaux, aux côtés des forces de l'ordre. Monsieur Simon Compaoré, le maire de la capitale Ouagadougou, a même été vu, le 13 décembre 2000 (date de la manifestation réprimée), conduisant personnellement ses milices dans la ville, armé d'un revolver et d'un talkie-walkie.
Le pouvoir burkinabé, dans sa volonté de mater tout mouvement démocratique de contestation, est explicitement soutenu par la France d'un point de vue matériel puisque celle-ci fournit à la police et à la gendarmerie de quoi "maintenir l'ordre" : bombes lacrymogènes, matériel de défense etc... Mais c'est aussi un soutien idéologique que reçoit le gouvernement sanguinaire de Compaoré. A plusieurs reprises en effet, le Collectif et les organisations de la société civile ont dû rappeler à l'ambassadeur de France au Burkina Faso, Maurice Portiche, en son temps que "le Burkina Faso n'est pas la quarante-sixième province dirigée par un gouverneur," dénonçant ainsi son attitude néo-coloniale. Et ceci car le 14 juillet 2000, ce même diplomate a publiquement pris parti dans la crise, notamment en décorant M. Djibril Bassolet, ministre délégué à la sécurité. ". La lettre précise que "Monsieur Portiche s'est fait l'avocat sans nuance du président Blaise Compaoré présenté comme un "démocrate consciencieux" et s'est également illustré par des propos injurieux contre les organisations démocratiques et le peuple burkinabé. Dans un pays caractérisé par des engagements démocratiques qui font référence, l'ambassadeur de notre pays s'est permis d'affirmer que la démocratie était un luxe de pays riches et développés pour lequel le Burkina n'est pas mûr".
Enfin voilà, maintenant c'est fini। Notre chère cheri ,dicatature à reussi sa fraude, et nous somme, sauf miracle contraint de vivre sous la dictature, le crime, la corruption, les atteintes à la liberté d’expression et les détournements de biens public .


73 députés au CDP

- l'ADF-RDA : 14 sièges
- l'UPR : 5 sièges
- l'UNIR/MS : 4 sièges
- la CFD/B : 3 sièges
- le PDP/PS : 2 sièges
- le PDS : 2 sièges
- le RDB : 2 sièges
- l'UPS : 2 sièges
- le PAREN : 1 siège
- le RPC : 1 siège
- l'UDPS : 1 siège
- le PAI : 1 siège
Ces élections ont connus le maximum de fraude:

Bobo Dioulasso:


La régularité des élections législatives du 6 mai 2007 à Bobo Dioulasso est remise en cause par certains acteurs de la scène politique. L'opposition, déçue, accuse implicitement les ténors du parti au pouvoir d'avoir grossièrement triché, notamment par l'usage massif de jugements supplétifs d'actes de naissance qui auraient été spécialement établis pour servir la fraude.

On parle aussi des restants de cartes d'électeurs qui auraient été indélicatement soutirés à quelques heures du scrutin.

Et cette fâcheuse expérience pourrait faire jurisprudence pour les prochaines élections, avec la proposition d'une relecture du mode de scrutin, formulée par les uns et les autres. Les dénonciateurs de cette fraude électorale souhaitent, pour plus de transparence, que ne soient utilisées lors des prochaines élections, que les seuls documents d'identification portant la photo de l'électeur. Nous avons tendu notre micro à quelques candidats de la province du Houet qui témoignent ici sur ce qu'ils ont vu et entendu le 6 mai 2007 dans les bureaux de vote.

Célestin Boyo Koussoubé : tête de liste ADF/RDA :

"En tant que candidat j'ai circulé dans les départements et surtout dans la ville de Bobo Dioulasso le jour du vote. Il faut avouer que nous ne sommes pas du tout fiers de la façon dont les élections ont été conduites. Pour moi, c'est extrêmement grave et je crois que c'est à vous ôter l'envie de faire de la politique. Je ne voudrais pas trop parler parce que, comme je l'ai dit à l'issue des dernières municipales, une fois que l'on donne les résultats et que vous vous prononcez par rapport à la fraude, les gens vont tout de suite y voir les paroles d'un perdant.

Alors que la réalité est qu'il y a eu de la fraude avec des causes profondes. Je voudrais sincèrement demander à nos autorités de faire très attention au système des élections. Parce que la fraude est devenue aujourd'hui un moyen de glaner les suffrages. Et je pense que si on continue comme ça, un sentiment d'injustice va naître et grandir chez les citoyens honnêtes.

Ces genres de situations amènent des problèmes qu'on n'arrive plus à gérer. Tout le monde a tendance à minimiser le problème, mais c'est grave ! Lors du scrutin du dimanche dernier, j'ai constaté que des actes de naissance ont été utilisés pour voter pratiquement dans tous les bureaux de vote à Bobo. Et ces actes de naissance sont tout neufs, ils venaient d'être faits. Les autorités politiques, la CENI, les CEIA et mêmes les candidats, tout le monde l'a constaté et on ne fait rien.

Il y a des signataires pour ces actes de naissance. Et tout le monde sait que le Code des personnes et de la famille punit ces genres de comportements de la part d'officiers d'état civil. Mais je sais qu'on ne fera rien. Nous d'ailleurs, nous ne porterons pas plainte. Parce que nous pensons que ça ne vaut pas la peine. Puisque les gens ne comprendrons pas. Mais si ça continue, la réaction va venir de la population elle-même.

Cela est d'autant plus inadmissible que la clairvoyance de notre président lui a valu d'être médiateur dans beaucoup de pays. Il a lui-même donné des conseils pour qu'il y ait apaisement et transparence dans les autres pays. On ne peut donc pas comprendre que dans son propre pays, la fraude soit érigée en système pour gagner les élections. Je pense que comme il l'a recommandé pour le Togo, il faut que chaque Burkinabè ait une carte numérisée avec sa photo pour pouvoir aller voter.

Sinon, si on continue à utiliser le système que l'on connaît, franchement, je suis persuadé d'abord que des gens de bonne volonté comme moi ne vont plus se présenter et qu'un jour, ça amènera de sérieux troubles dans le pays. En tout cas, ce qu'on a vu à Bobo Dioulasso, ce n'était pas des élections. Je ne raconte pas d'histoires parce que tous ceux qui étaient sur le terrain ont vu ce qui se passait.

Parlant de fraude, vous accusez un parti ?

Vous savez, dans cette affaire, je ne peux pas accuser essentiellement un parti. Parce qu'il y a probablement d'autres partis qui fraudent. Moi je dirigeais la liste de l'ADF/RDA, ce qui est sûr, nous, nous n'avons pas fraudé. Et ça, c'est clair. J'ai personnellement appréhendé des fraudeurs que j'ai conduits à la gendarmerie. La gendarmerie sait quel parti fraude. C'est clair, il y a des preuves, le président de la CEPI, des CEIA, les gendarmes, etc. ont constaté eux-mêmes qui fraude. Mois je ne voudrais pas faire la polémique. C'est parce que vous insistez que j'en parle, sinon je ne voudrais même pas en parler une fois les élections passées. Car ça ne changera rien".

Déval Millogo : tête de liste UNDD

"Ce qu'on a vu dimanche à Bobo, est très grave pour le pays. Si les élections doivent se passer comme ça, je crois que ce n'est plus la peine de les organiser. A Bobo Dioulasso, la fraude était visible et claire. Tout le monde le voyait. Des restants de cartes d'électeurs ont été frauduleusement soutirées et des actes de naissance correspondant à ces cartes ont été établis avec des dates de signature qui se trouvent être des jours non ouvrables. Certains actes de naissance étaient sans cachet. Avec ces faux documents, des gens sont allés voter dans tous les quatre coins de Bobo Dioulasso.

On a détecté trois zones essentielles de fraudes : Sarfalao, Bindougousso et Diarradougou. Il faut reconnaître que c'était très grave. Ces élections législatives étaient entachées de beaucoup d'irrégularités. Et si ça continue ainsi, on va déboucher à des situations des plus graves dans ce pays. Et tout cela est l'oeuvre du parti majoritaire qui se trouve actuellement être affaibli.

Partout où nous sommes passés pendant la campagne, c'est le changement que l'on demandait. Et si dans les résultats on se rend compte que ce n'est pas l'expression attendue, il est clair que quelque chose ne va pas ! On n'a même pas besoin de tergiverser. C'était bien visible-là ! tout le monde l'a constaté hier ! (ndlr : dimanche 6 mai). Comme le chat et la souris, des gens se sont pourchassés ici à Bobo Dioulasso à cause de la fraude. Et même les présidents des bureaux de vote sont complices de cette fraude.

Même les agents de sécurité ! Mais ça va pas ! Et pour que tout cela change, il ne doit plus être question d'utiliser lors des prochaines élections, autres documents d'identification en dehors de la carte d'identité avec la photo naturellement pour voter. Si l'on doit utiliser autres pièces, ce n'est plus la peine ! Je comprends maintenant pourquoi chaque fois l'opposition perd. Ça s'explique là !".

Nestor Batio Bassière : tête de liste UPS

"Les élections législatives du 6 mai à Bobo Dioulasso étaient loin, très loin d'être régulières. Il faut avoir le courage de le dire. Je crois que organiser des élections, c'est permettre au peuple de s'exprimer. Mais au Burkina Faso, on constate que les élections sont organisées et des gens font ce qu'ils veulent. C'est le lieu de dénoncer les cas de fraude qui ont entaché les élections de dimanche dernier. Moi personnellement, aux bureaux de vote sis au collège Tounouma garçon, j'ai pris des gens avec des extraits d'acte de naissance.

C'était des gens qu'on a convoyés des villages. Ils étaient en possession de vraies cartes d'électeurs avec des jugements supplétifs d'actes de naissance. Nous avons pris les cartes et appeler les noms et nous nous sommes rendus compte que les intéressés ne reconnaissaient même pas les noms par lesquels on les appelait. Alors, nous avons fait appel, le président de la CEPI est arrivé, nous avons discuté. C'était trop flagrant.

Comment comprendre que des centaines d'extraits d'actes de naissances soient établies le même jour ? Il y en avait qui étaient datées de 2007 ! C'est pour dire que la fraude était organisée depuis longtemps. Et j'accuse l'Administration ! Car je ne peux pas comprendre qu'un maire signe un extrait d'acte de naissance qui n'est pas conforme. Si nous continuons comme ça, je crois que nous créerons nous-mêmes les vrais problèmes parce que ça n'arrive pas qu'aux autres. Il faudrait désormais organiser des élections avec toutes les conditions de transparence et laisser libre cours à la population de choisir ses représentants.

Qui accusez-vous ?

Vous le savez vous-même parce que les choses sont suffisamment claires : Qui gère l'Administration ? vous savez très bien que les partis de l'opposition que nous sommes ne gèrent pas l'Administration. Nous accusons ceux qui gèrent les mairies car ce sont eux qui signent les extraits d'acte de naissance. Moi j'ai jamais signé d'acte de naissance. Celui qui a signé, ou plutôt celle qui signé les actes de naissance est candidate ! vous comprenez ! Allez-y savoir si ces actes de naissance sont enregistrés sur l'état civil de la mairie ! Ce sont autant d'enquêtes que l'on peut faire pour situer les responsabilités.

Que faire pour que tout cela change ?

Pour les prochaines élections, je pense que si l'on doit continuer à utiliser les extraits d'acte de naissance ce n'est pas la peine. Il faut des cartes d'identité numérisées avec photo. Ainsi, nous pensons qu'il sera difficile pour les faussaires de fabriquer cent à deux cents CIB. Sinon, si nous continuons les élections avec les extraits d'acte de naissance, ce sera tan pis pour notre démocratie car nous n'allons pas réellement permettre à nos populations de s'exprimer".

Amidou Sidibé : tête de liste CFDB

"Compte tenu de ce qu'on a vu le 6 mai, je dois dire de façon claire que les élections à Bobo doivent être reprises. Si nos délégués dans les bureaux de vote ont été empêchés de faire correctement leur travail, c'est parce nous avons constaté très tôt, qu'il y avait un vote partisan en préparation. Que ce soit au niveau des présidents des bureaux de vote ou que ce soit du côté des assesseurs, tout était réuni pour que ne puissions pas gagner les élections alors que nous avons abattu un travail de fond qui pouvait nous amener à partager les sièges de Bobo.

Si seulement on pouvait reprendre ces élections sans les actes de naissance, nous pensons que les résultats que nous avons actuellement ne pouvaient que être partagés. Mais il y a eu utilisation d'actes de naissance établis la veille sans numéro, juste pour ces élections. Nous accusons la CENI qui a laissé les restes des cartes d'électeurs à la disposition de certaines personnes.

Le jour du vote, j'ai moi-même pourchassé des gens qui étaient en possession des lots de cartes d'électeurs et des actes de naissance. Ils ont pris leur jambe au cou. Des gens peuvent témoigner à travers les quartiers. Pour les prochaines élections, il faut faire en sorte que les gens ne puissent plus voter avec des actes de naissance, ni des livrets de famille. Ce sera tant mieux pour notre démocratie. Dimanche dernier, des jeunes de 17 et 16 ans ont voté à Bobo Dioulasso. Même des morts ont voté. C'est par rapport à tout cela que nous disons que les résultats de ces législatives sont loin de refléter la réalité du terrain".

Alfred Sanou, 2e de liste CDP

"On peut se féliciter du fait qu'il n'y ait pas eu de problèmes majeurs pendant le déroulement du scrutin. Je veux dire qu'on est satisfait du fait qu'on n'ait pas signalé de cas d'échauffourées notoires. Il faut toutefois déplorer le fait que pour ces législatives, comme c'était d'ailleurs le cas pour les dernières élections, beaucoup d'électeurs n'ont pas eu leur carte dès le départ. J'ai vu des électeurs qui sont venus avec leurs cartes des dernières élections mais qui n'ont pas retrouvé leur carte marron pour les législatives. J'en ai aussi rencontré qui avaient leur nouvelle carte mais qui n'avaient pas leur nom sur les listes.

Ceux-là n'ont donc pas pu voter. Tout cela, c'est une défaillance de la CENI. En dehors de tout cela, il faut dire que le fichier électoral mérite d'être épuré. Ça fait bientôt une dizaine d'années que le fichier porte les mêmes noms comme s'il n'y avait pas eu de décès ou autres changements.

Il faut aussi reconnaître par ailleurs que le vote avec les extraits d'acte de naissance permet de frauder. Nous avons constaté des tentatives de fraudes lors de ces législatives. Ça, c'est une défaillance de notre système électoral et je crois qu'il faut songer à le changer. Il faudra déjà tendre vers un système qui exige le vote rien qu'avec les pièces d'identité portant la photo de l'électeur.

Cela réduirait la tricherie. Pendant le vote du 6 mai dernier, on a effectivement appréhendé des véhicules transportant des gens avec des lots de cartes et qui partaient très probablement pour des fraudes. En dehors de tout cela, on peut dire que de façon générale, le scrutin s'est très bien déroulé.

En terme de résultats et par rapport à mon parti, le CDP, il faut dire qu'on s'attendait à avoir 4 ou 5 sièges, mais nous nous sommes malheureusement contenté de 3. Je crois que nous avons été victimes du mode de calcul. Car le CDP s'est retrouvé avec plus du double de l'ensemble des voix des trois autres partis qui ont pourtant eu chacun un siège.

Je crois qu'on doit changer ce système de calcul qui, à mon sens n'est pas très juste. Les députés élus sur cette base n'ont pas la même représentativité. Même si on a adopté ce système à un moment donné, il faudra bien qu'on avance vers un autre système plus démocratique et plus représentatif".
Bobo n'est qu'un exemple car le regiime compaoré vie et de la fraude et du sang.

Liste des Députés 2007:

Balé
CDP :
- Yé Bongnessan
- Touré Mohamadou

Bam (Kongoussi)
CDP :
- Ouédraogo Youssouf
ADF/RDA :
- Ouédraogo Galliam

Banwa :
CDP :
- Sanou Té
ADF/RDA :
- Sidibé Aïssata dite Maman Gentille

Bazèga :
CDP :
- Ouédraogo Jean Bertin
- Song-Naba Windmanegueda Justin

Bougouriba
ADF/RDA :
- Dah Koumbaterssour

Boulgou
CDP :
- Yoda Bédouma Alain
- Balima Boureima
UPR :
- Gouem Laléyan Saïdou
CFD-B :
- Sambaré Palguim

Boulkiemdé :
CDP :
- Yaméogo Tandogo Jean Hubert
- Bouda Seydou
- Koala/Kaboré Kombi Aline
ADF/RDA :
- Nana A. Michel

Comoé
CDP :
- Ouattara Benoît
RDB :
- Héma Makoura

Ganzourgou
CDP :
- Kaboré Joseph
- Kaboré Alexis

Gnagna
CDP :
- Dabilgou Timbindi Vincent
- Diagbouga Djingri Fidèle
ADF/RDA :
- Lankoandé Folga

Gourma :
CDP :
- Tandamba Idrissa
ADF/RDA :
- Thiombiano Adiouma Idrissa

Houet :
CDP :
- Sanon Thomas
- Sanou Alfred
- Ouédraogo Michel
ADF/RDA :
- Koussoubé Bayo Celestin
UPR :
- Sanogo Issa
UPS :
- Bassière Nestor

Ioba :
CDP :
- Somé Placide
UDPS :
- Somda Laounikoun Bénilde

Kadiogo
CDP :
- Compaoré Simon
- Sawadogo Pengwendé Clément
- Tiendrébéogo Victor
- Sawadogo/Ouédraogo Marie Blandine
ADF/RDA :
- Savadogo Yacouba
PAREN :
- Bado Laurent
UPS :
- Tiéndrébéogo Norbert Michel
UNIR/MS :
- Sawadogo Yamba Malick
- Bessin yoffu Valentine Edwige
- Florence Bamouni

Kénédougou
CDP :
- Traoré Dékrin Jules
PAI :
- Sanogo Drissa

Komondjari
CDP :
- Lompo Pagari christophe

Kompienga :
CDP :
- Sangli Malenli Jean Paul

Kossi :
CDP
- Konaté Tiémoko
PDP/PS :
- Traoré Etienne

Koulpelego :
CDP :
- Darankoum Tiémoko Eric
- Diéssongo Téné Patrice

Kourritenga :
CDP :
- Kyélem Blaise Lambert
UPR :
- Kaboré Saïdou

Kourwéogo :
CDP :
- Ouédraogo Bonaventure Dim-Songo

Léraba :
CDP :
- Traoré Mélégué Maurice

Loroum :
CDP :
- Komy Sambo Antoine

Mouhoun :
CDP :
- Koté/Abou Korotimi
UPR :
- Coulibaly Toussaint Abel

Nahouri :
CDP :
- Dicko/Agaloué Adoua Maria Goretti Blandine

Namentenga :
CDP :
- Sawadogo Zambendé Théodore
- Kafando Tousma Hyacinthe

Nayala :
CDP :
- Bonanet Maurice Dieudonné

Noubiel :
CDP :
- Somé Victorien

Oubritenga :
CDP :
- Konseibo François Xavier
- Ouédraogo Tinga Jérémy

Oudalan :
CFD-B :
- Dicko Amadou Diemdioda

Passoré :
CDP :
- Diéndéré/Diallo Fatoumata
- Nougtara Tibila dit Mathurin
UNIR/MS :
- Kientéga Meng-Nèré Fidèle

Poni :
CDP :
- Hien Sié Roger
RDB :
- Ouali Louis Armand Mihyemba

Sanguié :
CDP :
- Bado Etienne
ADF/RDA :
- Bado Dema

Sanmatenga
CDP :
- Ouédraogo Sayouba
- Drabo/Ouédraogo Zoénabo
ADF/RDA :
- Bamogo Lallo Dit Hamado
PDP/PS :
- Ouédraogo Salfo Théodore

Séno :
CDP :
- Cissé Abdoulaye Abdoul Kader
PDS :
- Hama Arba Diallo

Sissili :
CDP :
- Guigma/Diasso Mariam Marie Gisèle
ADF/RDA :
- Nébié Serge Rémi Fouandji

Soum :
CDP :
- Sawadogo Laya
ADF/RDA :
- Tamboura Ousséni

Sourou :
CDP :
- Sangaré Bibia Robert
- Séré/Sérémé Saran

Tapoa :
CDP :
- Yonli Paramanga Ernest
- Couldiaty Innocent

Tuy :
CDP :
- Tamini/Bihoun Pascaline

Yagha :
CDP :
- Ly Bassirou Karmadji

Yatenga :
CDP :
- Barry Yacouba
- Beloum/Ouédraog Tibo dite Cécile
- Ouédraogo Jacob
ADF/RDA :
- Belem Sidiki

Ziro :
CDP :
- Diasso Malakilo Mohamed

Zondoma :
CDP :
- Sawadogo Lassané

Zoundwéogo :
CDP :
- Sedgo Bila Gilbert
RCP :
- Massimbo Fissi Léonard.